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10.06.2017 à 03 H 43 • Mis à jour le 10.06.2017 à 03 H 43 • Temps de lecture : 9 minutes
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n°163.Turquie: le pouvoir a-t-il laissé faire la tentative de putsch?

Depuis le 22 mai, les protagonistes de la tentative de coup d’État de juillet 2016 sont jugés à Ankara. Loin de produire l’effet cathartique attendu, les audiences font surgir de nouvelles interrogations sur les zones d’ombre de cette affaire. À commencer par le manque de réactivité des autorités : elles étaient prévenues du projet de putsch plusieurs heures avant son déclenchement

Que s’est-il passé dans les heures qui ont précédé la tentative manquée de coup d’État du 15 juillet 2016 en Turquie ? Les autorités auraient-elles pu empêcher la mise en œuvre de ce projet criminel, et éviter la mort de 250 personnes ? Si elles ne l’ont pas fait, pourquoi ? Depuis le 22 mai, la salle d’audience de la 17e chambre de la cour d’assises d’Ankara, installée dans la prison de Sincan, une banlieue de la capitale turque, résonne de ces questions, nourries par les dépositions des accusés.


Le procès de Sincan n’est pas le premier à s’attaquer au dossier du putsch. Il a été saucissonné en une multitude de procédures s’intéressant à chaque fois à un événement spécifique de cette nuit tragique. Comme, par exemple, la tentative d'enlèvement du président islamo-conservateur Recep Tayyip Erdogan durant ses vacances à Marmaris (sud-ouest) : elle est jugée depuis février dans la ville balnéaire de Mugla.


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