S'abonner
Se connecter
logo du site ledesk
En continu
Les dernières informations en temps réel

Connectez-vous

Mot de passe oublié ?

Abonnez-vous !

Découvrez l'offre de lancement du Desk

60 DH
1 mois
Découvrir les offres
02.02.2023 à 12 H 40 • Mis à jour le 02.02.2023 à 12 H 40 • Temps de lecture : 1 minutes
Par
Maroc-Espagne

La reprise ajournée du trafic commercial avec Ceuta et Melilla discutée entre Laftit et Grande-Marlaska

Le ministre de l'Intérieur, Abdelouafi Laftit s'est entretenu, jeudi à Rabat, avec son homologue espagnol, Fernando Grande-Marlaska, qui fait partie de la délégation accompagnant le président du gouvernement espagnol, Pedro Sánchez, actuellement en visite dans le Royaume, pour coprésider avec Aziz Akhannouch la 12ème session de la Réunion de Haut Niveau Maroc-Espagne.


En toile de fond des discussions, la reprise qui avait été annoncée comme « imminente » du trafic commercial entre le Maroc et les deux enclaves espagnoles de Ceuta et Melilla, à l'arrêt depuis 2018.


Pour rappel, Fernando Grande-Marlaska s’était avancé dans la presse pour affirmer que la réouverture des postes frontières et l’activation du service douanier avec les deux enclaves - prévues d’abord au 25 janvier - précéderait en tout état de cause la RHN alors que jusqu’ici seuls des tests ont été effectués côté espagnol.


De son côté, le Maroc cherche toujours à obtenir de son partenaire espagnol que cette réouverture n’occasionnera pas un nouvel afflux de marchandises de contrebande que Rabat avait éradiqué en verrouillant l’accès aux cités autonomes.


A la mi-janvier, lors d’échanges préparatoires à la RHN à Madrid, le wali directeur de la migration et de la surveillance des frontières au ministère de l'intérieur Khalid Zerouali avait insisté sur cet aspect, indiquant que la progressivité est de mise pour évaluer d’éventuels « effets indésirables », dont essentiellement le commerce dit « atypique ».

 

La position de Rabat est que « la pleine circulation des personnes et des marchandises de manière ordonnée, y compris des dispositifs appropriés de contrôle douanier », selon les termes de la déclaration conjointe adoptée en avril 2022 entre les deux pays requiert toujours des « ajustements ».

©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite.

Par
Revenir au direct