
Des visiteurs à l’entrée du Parlement européen. Crédit: Europarl/Flickr
Non, les officiels marocains ne sont pas interdits d’accéder à l’Europarlement
Depuis février dernier, date du vote, dans le sillage du Qatargate, d’une résolution du Parlement européen, la presse algérienne affirme que les diplomates et politiques marocains sont bannis de son enceinte. Une infox sur des mesures non contraignantes servant d’écran de fumée pour masquer les difficultés et défaillances internes à l’hémicycle européen : déficit de transparence, corruptibilité de ses membres etc.
À l'origine
Depuis le mois de février, de nombreux médias algériens, dont notamment l’agence de presse officielle APS répète à l’envi que les diplomates marocains, leurs assistants, mais aussi tout officiel marocain se sont vus interdire l’accès à l’enceinte du Parlement européen, prétextant ainsi des mesures de rétorsion prises suite à l’affaire baptisée Qatargate.
A l’appui de leurs assertions, les porte-voix du régime d’Alger font référence à l’adoption en février par le Parlement européen d’une résolution faisant état de supposées mesures coercitives à l’égard des représentants marocains, dont celle d’un empêchement d’accès à son siège jusqu’à la fin des enquêtes des autorités belges sur l’affaire.
A l’appui de leurs assertions, les porte-voix du régime d’Alger font référence à l’adoption en février par le Parlement européen d’une résolution faisant état de supposées mesures coercitives à l’égard des représentants marocains, dont celle d’un empêchement d’accès à son siège jusqu’à la fin des enquêtes des autorités belges sur l’affaire.

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