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08.02.2018 à 12 H 58 • Mis à jour le 08.02.2018 à 12 H 58 • Temps de lecture : 9 minutes
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n°271.L’indice de la peur plane sur Wall Street

La créativité financière ne connaît aucune limite. Après avoir inventé les subprimes, cause de la crise de 2008, le monde financier spécule depuis dix ans sur le VIX, appelé “indice de la peur”. Il évalue la volatilité des marchés, censée indiquer les hausses et les baisses futures, les crises à venir. Aujourd’hui, il est désigné comme le grand responsable de la déroute boursière de Wall Street, survenue le 5 février

La crise financière de 2008 avait mis en lumière la créativité financière. En quelques semaines, le monde avait découvert les subprimes, la titrisation, et tous les titres obscurs (CDO, CDS, ABS, etc.) au centre de l’effondrement financier. Dans les prochaines semaines, il est fort possible qu’un autre sigle, le VIX, se retrouve au centre des conversations. Il est déjà désigné comme le principal responsable de l’effondrement boursier qu’a connu Wall Street lundi 5 février.


En quelques dizaines de minutes au cours de la séance de lundi, le Dow Jones, l’indice phare de Wall Street, a chuté de plus de 10 %, avant de terminer en baisse de 4,6 %. Déboussolés, les acteurs de marché ont cherché à comprendre. Y avait-il un trader fou ? Des ordinateurs perdant tout contrôle ? Beaucoup pointent désormais du doigt un coupable : le VIX, l’indice de volatilité du marché. L’indice de la peur, disent les financiers. Un indice qui, en quelques années, est devenu la référence de tous les paris boursiers, dans des marchés dominés par des algorithmes et des mathématiques quantiques.


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