
20 février 2016. Un jeune militant du Mouvement du 20-février brandissant une pancarte dénonçant la corruption lors de la célébration à Rabat du cinquième anniversaire des printemps arabes. FADEL SENNA / AFP
n°49.Pourquoi les gardiens de la bonne gouvernance n’ont pas les mains libres ?
Dans un récent rapport, l’OCDE passe au crible le rôle de l’Instance centrale de prévention de la corruption (ICPC) et celui de l’Institution du médiateur du royaume (IMR). Le document souligne leurs multiples contraintes et défaillances.
Il vous reste 98% de l'article à lire. La lecture de cet article est réservée aux abonnés du Desk.
Pour lire cet article, abonnez-vous dès maintenant !
Offre Découverte
Offre Zen
Offre Soutien
1 an
illimité tout support
Soutenez le Desk en choisissant un montant d'abonnement supérieur à 480 DH
Déjà abonné ? Identifiez-vous
©️ Copyright Pulse Media. Tous droits réservés.
Reproduction et diffusions interdites (photocopies, intranet, web, messageries, newsletters, outils de veille) sans autorisation écrite
