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08.11.2017 à 02 H 37 • Mis à jour le 08.11.2017 à 02 H 37
Par
Coexistence

The Economist chante les louanges d’André Azoulay

L’hebdomadaire influent The Economist a consacré un article au festival des musiques andalouses d’Essaouira, faisant l’apologie d’une « idylle entre juifs et musulmans », une « coexistence » dont « Essaouira est un exemple pour le reste de la région ».

 

« Le renouveau est l'initiative d'André Azoulay, un Juif d'Essaouira âgé de 76 ans et conseiller des rois du Maroc. Chaque automne, il organise un festival coloré de musique andalouse visant à rassembler des centaines de juifs et de musulmans pour un week-end de concerts et de dialogues. Les locaux emballent le petit stade pour regarder les chantres hébreux et les récitants du Coran chanter bras dessus bras dessous. Israéliens et Palestiniens y affluent aussi », écrit The Economist, qui cite à ce propos Azoulay : « Essaouira est ce que le Moyen-Orient était et pourrait encore être ».

 

« Aucun pays arabe n'est allé si loin comme le Maroc pour faire revivre son héritage juif. Le royaume a restauré 110 synagogues, telles que Slat Lkahal, qui a ouvert à Essaouira pendant le festival. Un centre d'études judéo-islamiques devrait ouvrir ses portes dans l'ancienne kasbah cette année. Le royaume possède également le seul musée juif du monde arabe », souligne la publication.

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