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24.09.2019 à 18 H 00 • Mis à jour le 24.09.2019 à 18 H 01 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°523.Au Maroc, l’affaire Hajar Raissouni ravive les tensions politiques et sociétales

Arrêtée et jetée en prison pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage », la journaliste de 28 ans a vu son procès s’ouvrir à Rabat ce 23 septembre. Dans un royaume autoritaire qui use de lois répressives contre ses dissidents et dont la société est tiraillée entre ouverture et conservatisme, son cas, porté en symbole, a rouvert le débat sur les libertés individuelles et la liberté de la presse sur fond de clivages politiques et idéologiques

Hajar Raissouni, incarcérée depuis le 31 août dans une prison de la banlieue de Rabat au Maroc pour « avortement illégal » et « relations sexuelles hors mariage », a vu son procès, celui de son compagnon soudanais et de l’équipe médicale – également poursuivis dans cette affaire aux multiples relents politiques –, s’ouvrir ce lundi 23 septembre.


La jeune Marocaine de 28 ans, journaliste au quotidien arabophone Akhbar Al-Yaoum, avait dès sa première comparution début septembre repoussé les principales accusations portées à son encontre, affirmant n’avoir pas subi d’avortement mais reçu des soins d’urgence dans un cabinet gynécologique privé pour une hémorragie, ce que la défense de son médecin a aussi plaidé invoquant l’assistance à personne en danger.

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