
n°339.Le Maroc contraint au face-à-face avec le Polisario prévu par Köhler ?
Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, n’a eu de cesse de le répéter, à Rabat, Lisbonne ou encore à New York : le Maroc n’acceptera de se retrouver à la table de pourparlers avec ses ennemis du Polisario qu’à la condition que l’Algérie accepte d’y siéger en tant que « partie impliquée » dans l’interminable conflit du Sahara Occidental.
Cette attitude adoptée depuis dix ans, date de la proposition de conférer au territoire contesté un statut d’autonomie mais sous souveraineté marocaine, avait usé les efforts de Christopher Ross, l’ancien envoyé spécial du Secrétaire général des Nations Unies. Mais depuis l’adoption de la résolution 2414 par le Conseil de sécurité en avril dernier, la marge de manœuvre du Maroc, s’est, sur ce point en particulier rétrécie.

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