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12.05.2016 à 11 H 54 • Mis à jour le 12.05.2016 à 11 H 57 • Temps de lecture : 7 minutes
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n°39.Pourquoi les immolations par le feu se sont elles banalisées ?

Depuis 2016 et en particulier le mois d’avril, les cas d’individus s’immolant par le feu se sont égrainés à un rythme quasi hebdomadaire, faisant passer ce phénomène de protestation sociale inouïe dans la catégorie des faits divers récurrents. Décryptage.

Devenue symboliquement le point de départ de l’embrasement de la rue dans plusieurs pays arabes après l’immolation de Mohamed Bouazzi le 17 décembre 2010 en Tunisie, cette forme de protestation n’est pas un phénomène nouveau au royaume chérifien. Pratiquée bien avant le cas de Bouazzi à Sidi Bouzid, elle tend toutefois à se multiplier depuis le début de l’année 2016.


Depuis janvier, les médias rapportent 9 cas d’immolation par le feu, soit une moyenne de deux par mois. Aucun chiffre officiel n’existe, à la différence d’autres pays émergents, où le phénomène est répandu et requiert une attention publique. Une simple recherche web des cas d’immolation par le feu, a toutefois permis au Desk d’établir une typologie basique de l’immolation au Maroc. Ce recensement révèle certaines caractéristiques récurrentes, portant sur les espaces, les raisons, le sexe de l’immolé…

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