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10.02.2021 à 17 H 47 • Mis à jour le 10.02.2021 à 23 H 56 • Temps de lecture : 8 minutes
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n°659.Tragédie de Tanger: l’Institut National des Conditions de Vie au Travail, une coquille vide ?

Le drame meurtrier de l’atelier textile clandestin de Tanger questionne de nouveau l’efficacité des dispositifs gouvernementaux censés prémunir de ces catastrophes à répétition. L'Institut National de Conditions de Vie au Travail (INCVT), créé en 2010 suite à l'affaire Rosamor, au-delà de sa communication clinquante, est-il réellement apte à endiguer l’hémorragie ? Quelle est sa part de responsabilité ?

Le 8 février dernier, un tragique accident survenait dans un atelier clandestin de Tanger. 29 personnes sont décédées. Les victimes, parmi elles 20 travailleuses entassées dans un garage souterrain, se sont retrouvées noyées et électrocutées suite aux fortes pluies qui se sont abattues sur le nord du pays.


Le funèbre évènement met rapidement en avant les conditions de travail au Maroc et de façon plus générale la stratégie nationale pour empêcher de tels drames et de faire face à tout risques professionnels. Car, contrairement à ce qu’affirme le vice-président de la CGEM, Mehdi Tazi, ce ne sont pas « certains concitoyens » qui travaillent « encore dans des structures ne répondant pas aux normes de sécurité nécessaires à leur protection physique », mais bien  83 % des entreprises marocaines qui respectent pas les dispositions du Code de travail en rapport avec la mise en place de la commission de sécurité et de l’hygiène.


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