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22.12.2021 à 16 H 51 • Mis à jour le 22.12.2021 à 17 H 02 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°735.Troisième mandat à l’USFP : assailli par les critiques, Driss Lachgar tente de se justifier

Le Conseil national de l’USFP a approuvé un amendement qui balise le terrain à un troisième mandat de Driss Lachgar. À la grande colère de ses adversaires, qui dénoncent des décisions illégales en annonçant des recours devant la justice. Interrogé par Le Desk, le Premier secrétaire du parti de la rose affirme qu’il ne compte pas briguer un troisième mandat

Un « hold-up », un « détournement des lois », une « prise otage d’un parti historique »… Une avalanche de critiques s’abat sur Driss Lachgar. Et pour cause, le Conseil national de l’Union socialiste des forces populaires (USFP) a approuvé le 18 décembre des amendements du règlement intérieur du parti sur les modalités d’organisation du congrès national et l’élection du Premier secrétaire du parti, lesquels ouvrent désormais la voie à Lachgar pour un troisième mandat, lui qui a jusqu’ici juré la main sur le cœur qu’il ne se présenterait pas à sa propre succession.


« Il est en train de tuer l’USFP », nous lance d’emblée Mohamed Boubekri, un des cinq candidats à la tête du parti de la rose, au même titre que Abdelkrim Benatiq, Hasna Abouzaid, Tarik Sellam, Chokrane Amam et Abdelmajid Moumer. « Quand je lui ai dit que je me portais candidat, il m’a demandé pourquoi. À quoi j’ai répondu que je voulais apporter du changement. Sa réponse : ‘’Pourtant, le parti est bien tenu’’. Je lui ai dit que c’était sa lecture », témoigne-t-il.


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