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15.03.2020 à 23 H 42 • Mis à jour le 15.03.2020 à 23 H 42 • Temps de lecture : 1 minutes
Par La rédaction

En France, les banques demandent la nationalisation des pertes des entreprises

Face au coronavirus, alors que les grandes entreprises françaises sollicitent déjà leurs banques, celles-ci se préparent, elles aussi, à une hausse de la sinistralité. Problème : malgré un paquet de mesures fortes annoncé par la Banque centrale européenne (BCE), et dernièrement une concertation entre les principales banques centrales mondiales, sans compter la décision de la Fed américaine d’abaisser son taux directeur à zéro, certaines craignent de ne pas pouvoir faire face à la vague de défaillances qui se profile.


Les banques de l’hexagone ont vu leurs cours en Bourse dévisser de plus 40 % de leur valeur en un mois. Elles ont été entendues par le ministre de l’Economie Bruno Le Maire. Objectif : présenter une réponse massive, comme l'Allemagne, qui a annoncé vendredi un plan d'aide aux entreprises de 550 milliards d'euros via sa banque publique KfW.


Les banques voudraient voir la création d'un fonds qui puisse concerner beaucoup d'entreprises, et pas seulement une minorité. En clair, nationaliser les pertes des entreprises pendant une période, grâce à un relais de l'Etat, révèle Les Echos.

 

Somme toute, certains dirigeants de banques françaises appellent à un mécanisme national capable de prendre le relais des banques. Celles-ci espèrent par ailleurs la bienveillance sur le traitement des créances douteuses, en raison des défaillances attendues avec la crise du coronavirus.


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