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29.04.2021 à 22 H 00 • Mis à jour le 29.04.2021 à 22 H 00 • Temps de lecture : 6 minutes
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n°685.Entre fantasme et menace latente, les ambitions iraniennes en Afrique exploitées par Rabat pour plaire à Biden

Alors que les relations entre Rabat et Washington s’enlisent sur fond de neutralité négative américaine sur le dossier du Sahara, la diplomatie marocaine continue de survendre la menace iranienne dans la région afin de convaincre Joe Biden et Antony Blinken de se rallier à la « cause nationale ». Décryptage

Il n’est un secret pour personne que la diplomatie marocaine joue sur la carte de la collusion « Iran-Hezbollah-Polisario » pour séduire l’administration Biden, avec laquelle les rapports semblent assez froids comparé à l’effervescence connue avec Mike Pompeo, le principal secrétaire d’Etat de l’ex-président Donald Trump.


Début avril, le politologue senior fellow à la Foundation for Defense of Democracies (FDD), Emanuel Ottelenghi, brodait dans le National Interest autour de l’arrestation en janvier au Maroc, d’un ressortissant libanais membre du Hezbollah à son entrée dans le royaume (Lire notre enquête sur l’affaire du réseau Tajideen), dans le but d’établir un parallèle avec des tentatives d’infiltration d’agents du Hezbollah et de l’Iran en Amérique du Sud. Ottelenghi conclut son billet par une invitation à l’administration Biden à « être très attentive à ces développement », ajoutant que le « Maroc est un allié fort des Etats-Unis » et que ces derniers doivent « promouvoir » la récente normalisation de Rabat avec Tel Aviv.

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