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01.08.2019 à 19 H 33 • Mis à jour le 01.08.2019 à 19 H 46 • Temps de lecture : 5 minutes
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n°498.Prisonniers politiques: Bouayach s’enlise dans une querelle de chapelle pour légitimer son déni

Hors de question pour la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) de reconnaître le statut de prisonnier politique aux détenus du Hirak du Rif et de ceux de Jerada. Dans une note laborieuse transmise à la presse, elle défend sans convaincre le concept de prévalence de la violence sur celui des motivations politiques pour justifier de leur incarcération

Il aura fallu une dizaine de jours pour que la présidente du CNDH réponde laborieusement au déluge de critiques suscité par ses déclarations à l’agence de presse espagnole EFE estimant de manière catégorique « qu’il n'y a pas de prisonniers politiques » au Maroc et que la torture n'est plus pratiquée dans les prisons ou les postes de police... Des déclarations qui n’avaient pas manqué de faire réagir militants, activistes, observateurs des droits de l’Homme, mais aussi l’association Thafra pour la fidélité et la solidarité rassemblant les familles des détenus du Rif.


Dans une tribune de quatre feuillets transmise à la presse, Amina Bouayach conteste le rendu de ses propos objets, selon elle, de « fragmentation (…) et de « dé-contextualisation ». « La crispation politique et la confusion qui ont dominé la discussion ont éclipsé la complexité de la question », affirme-t-elle.

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